Cold case: le deuil sans fin des familles
On les appelle les cold case, des crimes non résolus. Si les progrès des analyses scientifiques permettent d’en résoudre un plus grand nombre mais en Suisse, certains crimes restent frappés de prescription au bout de 30 ans, mettant fin aux enquêtes. C’est le cas de la disparition de Sarah Oberson. 40 ans après les faits, sa sœur continue de porter le combat pour connaître la vérité. En France, cette prescription peut être repoussée. Un pôle spécial du Tribunal de Nanterre se consacre même exclusivement à ces crimes non élucidés. Nous sommes allés à la rencontre des familles qui, en plus de la douleur d’avoir perdu un proche, doivent vivre sans connaître l’auteur et le mobile du crime.
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